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A l’instar de Surface Pro et de l'iPad Pro (1) , La Pixel C se présente comme une tablette convertible utilisable avec un clavier. Elle est commercialisée 499 euros.

Présentée en septembre dernier, la Pixel C de Google est désormais  disponible en France à partir de 499 euros).

Comme d'autres fabricants (HP avec Elite, Microsoft avec la Surface Pro), Google mise sur les produits « 2 en 1 » avec cette tablette convertible, qui est actuellement le seul segment en croissance pour le marché des tablettes.

Le passage en convertible : la nécessité de l'achat d'un clavier (169 euros).

Google se distingue toutefois d'Apple et Microsoft avec un prix plus accessible mais avec une différence de configuration.

Avec Pixel C, Google s'efforce peut-être plus de réorienter le marché des tablettes Android que d'écouler son propre produit.

Et de souligner par la voix de Sundar Pichai, le nouveau PDG de Google : « Nous essayons de pousser l'état de l'art et de pousser la prochaine génération informatique vers l'avant ».

« Pour ce faire, nous construisons le matériel ... afin que nous puissions orienter l'écosystème ».

Techniquement, on notera une finition en aluminium avec un écran 10,2 pouces 2.560x1.800p offrant une densité de 308 points par pouce.

La tablette reçoit un SoC Nvidia Tegra X1 appuyé par 3 Go de mémoire vive, un connecteur USB Type-C ….le tout sous Android 6.0.

(1)           Voir articles, notamment :

Pour qui le nouvel iPad Pro ? Apple peut-il relancer sa gamme de tablettes avec l’IPad Pro ? - News - publié le 15/09/2015 Une diagonale de 12,9 pouces, soit une taille équivalente à la plupart de ses portables MacBook et MacBook Pro… pour séduire les professionnels.

Une Surface Pro4 sous Windows 10? - News - publié le 13/05/2015 La sortie de Windows 10 pourrait s’accompagner d’une nouvelle Surface Pro 4, plus puissante et mieux équipée que la Pro 3.

HP Spectre x2 : un PC transformable aux airs de Surface Pro 4. HP veut reprendre sa place de premier vendeur de PC grand public - News - publié le 08/10/2015 La firme japonaise Hitachi a annoncé ce mardi qu'elle travaillait sur la conception d'une nouvelle technologie permettant de savoir où et quand un crime va être commis.